top of page
  • Pizzi

Lamoura la plage ! Ahou ahou


Quoi de mieux que du ski de fond dans le Jura ? Pour le ski de fond d'accord, mais pour la météo c’est pas encore ça.

Lors d’une nuit enneigée, les polyathlètes sont arrivés vendredi soir au refuge des adrets à Bellecombe. Le briefing réalisé, chacun était prêt à découvrir le Jura sur des skis. Certains sont partis sur une sortie guidée par un local de l’étape (Cyril) tandis que les autres amélioraient leur technique ou découvraient l'activité sur les pistes du Jura.

Malheureusement, le soleil nous a quitté juste après cette matinée. À la suite d’un repas gargantuesque (pour certains), nous sommes repartis tous ensemble pour s'en aller vers le Nord. Autant vous dire qu’avec le brouillard qu’on a eu, que l’on soit dans le Jura ou en Suède, il y avait deux pas.

La soirée a débuté sous les meilleurs hospices avec un jeu digne de ce nom et la découverte du terroir (morbier, bière locale). Tout le monde a fait preuve de ses talents de dessinateur et d’écrivain.

Mais les polyathlètes restent des polyathlètes.

Pour la suite des événements, nous avons décidé de nous rendre au lieu du début de la transjurassienne. Les groupes se sont formés : le groupe des très très forts, le groupe des très forts et le groupe des forts. (# pédagogie de la bienveillance à Dede). Chacun a pu skier sur les pas de la course la plus populaire de France sous un soleil éclatant (tout dépend de ce que l’on met dernière l'expression "soleil éclatant", cf photo).

En résumé, le Jura c’est magnifique et sauvage mais on a pas vu grand chose (même les skieurs). Encore un week end comme on les aime dans un environnement qui verra des polyathlètes revenir dès la semaine prochaine et pour d’autres week-end, soyez-en certains.

Amis polyathlètes, bonsoir.

PS : On souhaite un bon rétablissement à notre DEDEEEEEE (bloquée du dos le deuxième du jour !!) et un merci à l’hôte Pitou.


73 vues0 commentaire

Posts récents

Voir tout

Week-end Vercors

Revenir, le moment le plus difficile d'un week-end Polyathlon. Plénitude, nostalgie, tristesse, à chaque fois je ne sais pas. Ces lundis-là sont toujours compliqué, depuis 4 ans pas un seul ne m'a lai

bottom of page